Bonsoir à tous. Je suis Roland. Âgé de 28 ans, je suis un jeune diplômé en quête d’emploi, qui vis toujours dans ma grande demeure familiale. Bref, ce n’est pas pour ma situation sociale que j’écris ces lignes, mais plutôt pour partager avec vous une expérience amère qui jusque-là m’a laissée des séquelles psychologiques et physiques…
« J’aime les filles de ménage… »
En effet je suis un homme qui a un faible pour les filles de ménage. Je les trouve accessible et pas du tout compliquées. D’ailleurs, chez nous à la maison la servante a toujours sa petite chambre à coucher. Ce qui me facilite la tâche quand je souhaite assouvir mes besoins sexuels. Ainsi quand une fille de ménage exerce chez nous, j’essaie de sympathiser avec elle. Puis quelques temps après, je m’introduis tout nu dans son lit très tard dans la nuit en leur faisant des attouchements auxquels elles résistent difficilement (J’ai des doigts magiques).
Aminata…la plus belle
Mais tout va virer au cauchemar durant le deuxième trimestre de l’année 2014. Nous avons reçu une nouvelle servante prénommée Aminata. Croyez-moi, cette fille n’avait rien de commun avec les autres servantes. Sa beauté était transcendante. Il me la fallait a tout pris. J’ai donc mis ma tactique en place. J’ai tenté de la séduire en pleine nuit, comme je le faisais avec les autres, mais à chaque fois elle s’est réveillée et m’a rejeté. Mais je n’entendais pas abandonner de sitôt.
Le cauchemar
Malgré les menaces de la jeune fille, j’ai retenté mon « chat noir » pour une troisième fois un mardi à 3h du matin, mon heure habituelle. Mais ma surprise fut grande quand une fois dans la chambre, je suis tombé nez à nez, avec un gros gaillard, qui s’est empressé de pointer un couteau sur la gorge m’ordonnant de « fermer ma gueule » si je tenais à ma vie.
En fait, c’était le petit-ami d’Aminata. Elle a pris le soin de l’avertir de ce que chaque soir je tente de la toucher, et comme elle savait que je reviendrai, elle m’a dénoncé chez son brigand de petit-ami.
Ainsi, son malfrat, après m’avoir ligoté, m’a fait sortir de la maison et m’a envoyé dans un endroit broussailleux situé non loin de là. L’horreur s’y produisit. Après une bastonnade, il m’a tailladé le visage avec une lame. Sans oublier les injures scandées à l’appui. « ça va t’apprendre à chercher femme des gens salaud là », a lancé mon bourreau avant de décamper.
Une marque à vie
Mes cris stridents ont alerté le voisinage qui a accouru. J’ai été conduit à l’hôpital. A mon retour à la maison, Aminata n’y était plus. Elle aurait fui le jour du drame avec son amant braqueur. Quant à moi, je garde encore le triste souvenir de cette nuit d’horreur, à travers ces balafres forcées que je porte à jamais…
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